C’est un peu l’équivalent de “et alors?”. Cela permet de relativiser beaucoup de choses, les Irlandais sont champions pour cela, l’idée que ce ne sont pas les évènements qui comptes, mais la façon don’t on les hiérarchise. Cet idiome se retouve dans tout l’aire anglo-saxonne ceci dit.
Mon enfant a eu une mauvaise note, so what?
Il peut aujourd’hui, so what?
“so what” sauve beaucoup de situations, du moins le jugement que nous portons sur quelque chose de potentiellement négatif, signifiant que ce n’est pas la fin du monde.